Je suis Connor Merrick Anderson et voici mon histoire.

Je suis né au mois d'Aout, le mois de l'été, un certain 17 de l'année 1985. Mes parents étaient heureux d'avoir un fils,le seul enfant d'ailleurs. Mes parents gagnaient peut leur vie, ma mère était mère au foyer et mon père faisait des petits boulots pour subvenir à nos besoins.Ma mère voulait un second enfant,mais peu d'argent donc impossible, mais à l'âge de mes 4 ans, mon père mourut. Ma mère avait préférer dire qu'il est partie faire un long voyage plutôt que de me dire la vérité. Car elle savait combien j'adorais mon père, je me confiais à lui quand maman n'était pas. Je faisais du basket avec lui ou bien des parties de billard. J'ai donc attendu mon père alors, ma mère m'a élever toute seule alors. J'étais heureux d'être avec maman, mais mon père me manquait beaucoup. Quand j'ai eu mes 11 ans, ma vie changea radicalement. Ma mère rencontra un nouvel homme dans sa vie, et c'est là qu'elle décida de me dire la vraie vérité sur mon père. J'étais plus grand et je comprenais mieux les choses.Elle me prit les mains et me regarda dans les yeux en disant:<<Mon chéri, ton père n'était pas partit comme je te l'avais dit. Maintenant que tu es grand et que tu es en mesures de comprendre les choses, je te dois la vraie vérité.Ton père est mort, suite à un cancer>> Suite à cette nouvelle, le monde s'écroula autour de moi, j'ai voulu me montrer fort mais ce fut dur.Un mois après que ma mère m'a raconté la vérité, elle se remaria avec le nouvel homme. Ma mère me disait que c'est un type formidable, sauf que les apparences sont trompeuses comme on dit. Quand ma mère était au boulot, moi j'étais seul avec mon beau père que je hais au plus haut point. C'est lui qui me cherchait à l'école et après mon cauchemar commença. Il montrait sa vraie nature, il me battait et abuser de moi, et me caressait même. Moi? Je me laissais faire, qui aimerait croire un petit garçon comme moi. Car, il me menaçait, si je disais qui que ce soit ce qu'il me faisait, il me le ferait payer. Alors, moi j'avais peur de lui, j'ai préféré me taire.Je n'avais jamais rien dit à ma mère, que son nouveau mari et mon beau-père était violent et qu'il faisait des choses pas clean. Pendant sept ans, j'ai vécu des choses horrible avec cet homme. Je me suis barré de chez moi, car je ne supportais plus la violence de cet homme, j'avais 18 ans. .J'ai voyagé à mes 18 ans. Je suis allé à Paris, à New York et puis un jour j'ai vu l'Australie avec ses surfeurs. Je me suis dit pourquoi pas. Je viens d'arriver ici en Australie après avoir été sept à New York.
Maintenant que vous savez mon histoire, je vais vous parler d'une jeune femme que j'ai rencontré à New York. J'étais dans le bar où je faisais le service, là, j'ai fais la rencontre de Joyce, très vite le courant est passé e. Mais à l'époque, j'étais plutôt le type qui ne voulait pas s'installer vite avec une jeune femme, je suis jeune et donc, j'ai encore le temps. Des potes à moi, qui travaille aussi dans le même bar, m'ont lancer un pari,<<Hé Connor, mate la meuf là bas.Je sais que tu attires toutes les femmes dans ton lit, je te lance un pari, tu la dragues et tu te l'a fait.>> Je ne voulais pas faire ce pari, car je sentais quelque chose de bizarre en moi, comme un sentiment nouveau. Car moi, je voulais surtout s'amuser avec les femmes. Bien sûr, je fis ce pari stupide, car je l'ai bien regretter. J'ai dragué la jeune femme et une semaine après, nous avons couchés ensembles. Au petit matin, j'ai repris le boulot au bar, et là j'ai vu mes potes, je suis allé vers eux en disant::<<Voilà, j'ai gagné. J'ai draguer cette femme et j'ai couché avec elle. Un super coup cette meuf.>>J'étais fier, sauf que Joyce se trouva derrière moi et était en colère contre moi et pas qu'un peu.Le pote partit et je me retourna et vit la demoiselle énerver. Je ne dit rien que je reçu d'office une belle gifle, je l'ai bien méritait. Après ça, Joyce me sortit:<<C'est comme ça que tu me vois? Comme une simple pu*e, comme un jouet, un bon coup et qu'on jette comme une chaussette sale. Comment ai je pu être aussi stupide.Tu mérite bien ton statut de populaire. Je quitte la ville et Salut Mr le populaire.>>Après ça,Joyce quitte le bar et la ville. Je n'eut pas le temps de lui dire un mot. J'ai donc quitter moi aussi la ville pour venir ici vu que j'avais bien économiser. Ce que je souhaite, revoir cette fille et lui demander pardon.